Lecture : 1 Timothée chapitre 2

Il y a deux choses principales qui empêchent Dieu d’agir : 1) le manque de foi 2) le refus d’obéir à Dieu. Il y a deux choses qui permettent à Dieu d’intervenir et d’agir : la foi et l’obéissance.

L’apôtre Paul dit ici « avant toutes choses, mettez-vous en prière ». Il y a différentes prières nommées dans ce passage. En voyant les drames de notre monde, on pourrait se demander si les chrétiens ne négligent pas la prière pour les hommes qui ont du pouvoir, pour tous. Paul a écrit cela à Timothée en lui demandant de prier pour tous, y compris ceux qui nous persécutent. Prier et remettre à Dieu ceux qui nous persécutent. Pourquoi ? Parce que Dieu veut que tous les hommes soient sauvés, et il nous a demandé de prier pour tous les hommes, les dictateurs, les groupes sanguinaires, etc. C’est ce que Dieu nous demande.

C’est une erreur de penser que la persécution n’est qu’à l’étranger, elle existe aussi en Suisse, par exemple dans des familles où une seule personne est chrétienne.

Voici une illustration pour la foi : c’est un peu comme les portes de magasin qui s’ouvrent automatiquement lorsqu’on s’en approche. Elle peut être transparente, mais elle est fermée. C’est en s’en approchant qu’elle s’ouvre. On ose s’approcher d’une porte fermée parce qu’on sait qu’elle s’ouvre lorsqu’on s’en approche. Dieu veut un acte de confiance, un acte de foi.

Osons demander des choses impossibles à Dieu. Par exemple, il y a eu une demande de pouvoir annoncer l’évangile au-travers de la TSR. La porte s’est ouverte toute seule, avec 200’000 personnes touchées en deux diffusions. Il suffit de demander.

Parfois, nous prions et lorsque la porte s’ouvre, on recule. Si le Seigneur nous donne des occasions, ne les refusons pas. Dieu a le droit de nous déranger, il a tous les droits sur la vie de ses enfants. Un chrétien n’a plus rien à perdre car il a tout donné. Dieu a le droit de nous bousculer dans nos projets de vie, c’est des bénédictions. Lorsque Dieu nous appelle, il ne faut pas dire non mais « oui », en étant reconnaissant de ce qu’il nous demande. Ce n’est pas une punition.

Nous prions, mais sommes-nous prêts à porter les conséquences des exaucements de prière ? Si Dieu nous appelle, il faut avancer et Dieu nous bénira.