Chapelle de l'Espoir
Eglise évangélique
[Chapelle de l’Espoir]


Verset du jour :


L’Amour de Dieu

Message donné le 15 février 2015 par Joseph Zbinden

Texte : 1Co. 13 : 4-13

Titre : L’Amour de Dieu.

Thème : Les dimensions infinies de l’Amour de Dieu.

Introduction :

Quelle est la plus grande chose du monde ? Que faut-il regarder comme le bien suprême ?

  • les richesses ?
  • les honneurs ?
  • le pouvoir ?
  • la science ?
  • les exploits ?

Et que sais-je encore ?

En réalité, la chose la plus précieuse, le bien suprême, qu’un homme puisse acquérir,

je dis bien, acquérir,

au-delà de tout, au-dessus de tout, par-dessus tout,

ce que le monde et le diable peuvent offrir,

c’est le don de l’amour, de l’amour agapè.

Paul ne dit pas ici, que l’amour agapè est nécessaire, pour accomplir des choses extraordinaires et spectaculaires.

D’ailleurs, il est évident, qu’il n’y a pas besoin d’être chrétien, pour avoir certains dons. Mais dans l’Église, dit-il en substance, même le don le plus remarqué, s’il n’est pas exercé dans l’amour, n’a pas de valeur aux yeux de Dieu.

Car,

toutes les gloires,

toutes les richesses,

tout le pouvoir,

tout le luxe,

le bien-être,

la popularité,

les exploits,

les signes,

les miracles,

les prodiges,

les guérisons,

les prophéties,

la force,

la sagesse,

et même les langues des anges et des hommes,

la foi qui transporte des montagnes,

la connaissance de tous les mystères,

et comble de tout, l’offrande de son corps, en sacrifice suprême,

tout cela et plus encore, n’est rien, absolument rien,

ne nous sert à rien, strictement à rien, sans l’amour agapè.

Par contre,

  • si l’amour inspire tous mes actes, ils s’en trouvent instantanément valorisés.
  • si par amour je parle, j’annonce l’Évangile, j’approfondis les mystères,
  • si l’amour est la puissance de ma foi, la source de ma générosité, la force de mon service, et la motivation, qui me pousse jusqu’au martyr, alors, et alors seulement, mes actions ont de la valeur devant Dieu.
  • Sinon, elles ne sont que bruit, excitation et néant.
  • Que dire de plus ? Tout commentaire serait superflu ! Il ne serait qu’un bruit de plus !
    D’ailleurs, avez-vous déjà remarqué que ce sont les fûts vides, qui font le plus de bruit ?

Dans l’église donc, tout service, pour être valable devant Dieu, doit être inspiré et motivé par l’amour.

Mais qu’est-ce que cet amour,

qui est si grand,

si essentiel,

si spirituel,

si infini,

si éternel,

et qui est capable, de tout ce qui est bien, juste et bon,

et qui, miracle extraordinaire de la grâce de Dieu,

veut venir habiter en nous, afin de faire de nous,

des témoins vivants et puissants de cet amour ?

I) Considérations générales :

Parler de l’amour de Dieu, est un immense défi, à la raison humaine, même à l’esprit régénéré, car Dieu est amour, et si Dieu est insondable et incommensurable, l’amour agapè, qui vient de Dieu, cet amour infini, aussi, est insondable et incommensurable.

C’est pourquoi, Paul, dans son épître aux Éphésiens, nous encourage, à nous atteler à la tâche, avec l’aide de l’Esprit de Jésus, qui habite dans nos cœurs.

Alors, la puissance de Dieu, qui peut tout, nous fera comprendre, au-delà de tout ce que l’on pense, et demande, quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur de cet amour.

En effet, comment pourrions-nous mesurer, considérer, et comprendre, un amour si vaste, et si profond, qui surpasse et dépasse toute connaissance, et être rempli, de cet amour, jusqu’à toute la plénitude de Dieu, sans le secours agissant de Dieu lui-même, en Jésus-Christ ?

De plus, si nous sommes invités, à être remplis de cet amour agapè, de cet amour, qui a fait de nous des enfants de Dieu, selon qu’il est dit, voyez quel amour le père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu. (1Jn.1 :3)

Si telle est notre vocation, il est évident, que ceux-là seuls, qui sont nés de Dieu, qui sont des enfants de l’Amour divin, de cet Amour qui unit le Père et le Fils, et qui ont été régénéré par l’Esprit, peuvent être remplis, de la nature divine, de laquelle ils sont nés, et de laquelle seule, ils peuvent se développer, en se nourrissant de cet amour, comme le nourrisson, du lait de sa mère.

Cependant, même pour nous, qui sommes dans ce monde, amour, comme Dieu lui-même est amour, le fait d’être rempli, toujours d’avantage de cet amour, jusqu’à toute la plénitude de Dieu, n’est pas une mince affaire, mais c’est le dessein de Dieu, pour toute notre vie.

En effet, l’amour agapè, premier aspect du fruit de l’Esprit,

est tellement éloigné de nos pensées naturelles,

il est tellement élevé, au-dessus de nos contingences terrestres,

il est si grand, si vaste, si divin et si éternel,

que, s’il ne nous était pas montré et démontré par Dieu en Jésus-Christ,

nous n’aurions aucune idée, de ce que cet amour peut être,

sans parler du fait, que sans l’intervention divine,

nous sommes incapables, à jamais de saisir,

même dans une infime mesure,

ses dimensions immenses,

et ses manifestations riches et variées.

Et pourquoi ?

Parce que, même pour nous chrétiens, il est contraire à notre nature humaine, charnelle et pécheresse,

il est inconcevable pour notre intelligence,

impossible à manifester, pour notre volonté, par nous-mêmes,

insaisissable pour nos sens, intuitions, impressions, émotions,

car notre cœur, souillé et embrouillé par le péché,

ne peut pas, au grand jamais, appréhender, apprécier,

quelque chose qui n’est pas de la sphère humaine.

Selon qu’il est écrit, l’homme naturel, ne conçoit pas les choses de Dieu, car c’est spirituellement qu’on en juge, qu’on les comprend. (1Cor.2)

D’ailleurs, combien de chrétiens, encore aujourd’hui, s’imaginent à tort bien-sûr, que l’amour agapè, n’est pas très différent, de l’amour purement humain.

Ils le conçoivent, certes, comme quelque chose de plus élevé, de plus pur, de plus chrétien, que le simple amour humain,

mais notre nature, ne nous pousse-t-elle pas, à faire, trop souvent hélas, un amalgame, avec la charité chrétienne, purement humaine, humanitaire,

les manifestations philanthropes,

les bienfaits immenses, nombreux,

les aumônes, les libéralités, abondantes, généreuses,

les dévouements, les renoncements exceptionnels, dont font preuve certains humains,

jusqu’à donner leur vie, touchés qu’ils sont, par la misère et la pauvreté de ce monde,

avec l’amour de Dieu qui donne son Fils, lequel donne sa vie, pour des pécheurs impies et impénitents, et ennemis de Dieu, par leurs œuvres mauvaises et méchantes ?

Toutes ces choses, plus extraordinaires, les unes que les autres, n’ont pas, aux yeux de Dieu, de valeur divine, malgré leurs réalités intrinsèques, et les mérites humains, qui en découlent, et en dépit de tout ce que les hommes, peuvent dire de ces êtres exceptionnels.

Et Pourquoi ? Parce ces choses, ne sont pas le fruit, de l’union du divin et de l’humain, lorsque dans son amour et sa grâce, Dieu, en Jésus-Christ, sauve un homme par la foi, et le régénère par l’Esprit.

En effet, le croyant, l’enfant de Dieu véritable, ne fera peut-être pas de pareils exploits, ne manifestera pas tant d’abnégation, ne montrera pas autant de dévouement,

ne donnera pas autant d’argent et de temps, n’offrira probablement pas son corps en sacrifice, mais ce qu’il accomplira, dans l’esprit filial du premier amour,

motivé et encouragé par la Parole de Dieu, sera récompensé par Dieu, à juste titre, puisque, ce qu’il a fait, il l’a fait en Dieu,

et tout ce qu’il a fait, est le fruit de sa relation constante, avec le Dieu d’amour,

et ce résultat, bien que produit par l’homme, n’est pas de l’homme, mais de Dieu, car Dieu ne récompense, que ce qui vient de lui, et qui n’est pas l’œuvre de la chair.

Mais est-ce possible ?

Ici, les choses se compliquent un peu ! Comment le chrétien, doit-il croire et agir, pour qu’il en soit ainsi ? Procédons par étapes. Avant de dire ce que l’amour est, et comment il agit en nous, je voudrais dire ce qu’il n’est pas, et ne fait pas.

II) Réflexions approfondies au sujet de l’amour :

Il faut le dire et le redire, aucun humain ne peut, ni décrire, ni définir cet amour, puisque cet amour, c’est Dieu lui-même, et que Dieu, est inconcevable, invisible, et inaccessible.

C’est pourquoi, ce n’est qu’en Jésus, que par sa parole incarnée et par sa parole inspirée, que l’on peut, en vertu de la grâce de Dieu, recevoir cet amour, et vivre de cet amour.

a) L’utilisation abusive du mot amour :

Il n’y a pas beaucoup d’autres mots, de la langue française, que le mot amour,

qui a été autant galvaudé,

déprécié,

vilipendé,

vidé de son sens,

traîné dans la boue de ce monde pécheur, lequel s’est vautré dans la débauche, dans l’impureté, et dont la société, s’est moralement corrompue, à tous les niveaux.

Ce mot, si beau, si pur, si élevé, si grandiose, a été utilisé à tort et à travers,

mélangé à toutes les sauces,

engagé, dans presque toutes les publicités, pour la vente de tel ou tel produit,

imprimé partout, surtout sur papier glacé,

proposé à tous les regards.

Il anime toutes les discussions,

s’exprime de différents manières dans les chansons,

décrit l’expérience sexuelle,

facilite la vente, de ce que l’on boit et mange,

il a une place de choix dans les films, les séries TV,

les vidéos de toutes sortes,

jusque dans les bas fonds, de la dépravation du genre humain, et que sais-je encore ?

b) La conception faussée de l’amour :

Dans une telle confusion, comment voulez-vous, que les gens s’y retrouvent. C’est impossible, sauf, si on leur explique, ce qu’est vraiment l’amour, non pas humain, mais divin.

En effet, ce mot, agapè, traduit des Écritures grecques, par le mot amour, en français, ne se réfère, en fait, qu’à Dieu seul.

Car lui, et lui seul, est digne d’être appelé amour, puisque l’amour, est son attribut personnel. Il est donc évident, que c’est la seule et unique, prérogative de Dieu, d’être amour, de vivre de son amour, et de le donner, à qui il veut, quand il veut et comme il veut.

Il n’est pas inutile, de préciser ici, que le nouveau testament, possède quatre mots, pour décrire ce que nous appelons l’amour, et pour exprimer les différents éléments, que nous avons introduits, dans le mot amour.

Éros : pour tout ce qui est érotique, sensuel, et sexuel, et que l’homme a dénaturé.

Storgé : pour tout ce qui est des affections, et tendresses naturelles, innées, instinctives,

comme l’affection et l’attachement incroyable, d’une mère pour son enfant. Mais

cela reste humain, soumis à toutes les contingences terrestres.

Philia : pour tout ce qui est humainement familial, fraternel, émotionnel, sentimental,

mais il est changeant, selon le temps et les circonstances, à cause de notre

faiblesse humaine, il peut être plus ou moins égoïste, intéressé, désintéressé, etc.

Agapè : C’est le mot que le St. Esprit, a forgé tout exprès, pour parler de l’amour de Dieu.

Ce mot décrit la profondeur, du cœur de Dieu, sa nature divine, absolument bonne

et parfaite, juste et sainte, exempte de tout mal, et qui ne peut rien faire qui ne

soit conforme à son essence divine et éternelle.

Ainsi donc, selon les Écritures, l’amour agapè, est totalement différent de ce que nous appelons, communément l’amour,

mais qui n’est autre que les affections, les attachements les amitiés, les tendresses, les sentiments, et les passions plus ou moins légitimes.

Cependant ces choses ne sont pas à mépriser, dans la mesure où elles sont compatibles, avec la volonté de Dieu, et correspondent aux bonnes mœurs, de la société dans laquelle nous sommes.

c) Les dispositions de l’attachement humain :

L’attachement humain, est essentiellement basé sur les sentiments, les émotions, les impressions et les sensations, il est dirigé par les situations ou les circonstances.

Il n’est pas mauvais en soi, mais étant donné que son caractère est plutôt émotif, il est donc spontané, imprévisible, pas facile à contrôler, à maîtriser.

Il est souvent irréfléchi, et varie en intensité, au gré des circonstances, et peut apparaître et disparaître d’un moment à l’autre, selon les humeurs et les sentiments, bons ou mauvais que l’on peut éprouver.

L’attachement, l’amitié, sera à l’image de la personne qui le manifeste. Il sera conforme à sa personnalité, à son caractère, à son vécu, à son éducation, à sa formation, à ses ambitions et à ses intentions réelles, ses projets pour la vie présente et future.

En outre, l’attachement humain, est faible et limité. Il est faible dans sa force. Il ne peut pas résister longtemps, aux vicissitudes de la vie.

Il succombe facilement, aux tentations et aux épreuves de la vie. Il n’a naturellement pas beaucoup de résistance et d’endurance. Il se lasse et se fatigue rapidement.

Il faut, pour le maintenir quelque peu, du changement, du renouveau, il n’a pas la volonté de demeurer et de rester fidèle.

Enfin, il n’est que poussière comme l’homme, éphémère comme la fleur des champs, qui éclot le matin, et qui est fauchée le soir.

Il dure un temps, plus ou moins long selon les cas, puis il s’épuise, se fane, et meurt. Et Pourquoi ? Parce qu’il n’est pas relié à la source éternelle de l’amour divin.

d) Les dispositions de l’amour divin :

L’amour divin, est complètement différent de l’attachement humain. Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant l’amour divin est élevé au-dessus des sentiments des affections humaines. Essayons d’abord, de le décrire, et nous tenterons, de le définir plus tard.

L’amour agapè, n’est pas d’abord, une question de sentiment, mais de volonté. Il n’est pas seulement une amitié sincère et fidèle, il n’est pas simplement une charité tolérante, une fraternité bienfaisante, une convivialité divertissante, ni même un attachement des plus forts, des plus sûres et solides,

Mais selon l’exemple même de Dieu, il est un acte de volonté, délibéré et réfléchi, animé par les besoins des autres, selon qu’il est dit : « Car Dieu a tant aimé le monde »…

En un mot, c’est le don de soi pour l’autre. Et selon l’Écriture, il est nécessairement don de Dieu, œuvre de Dieu dans le cœur de l’homme, et, par conséquent, entièrement différent de l’amitié des hommes, puisqu’il porte en lui, la marque de Dieu.

Il est libre et réfléchi. Il jaillit librement, et spontanément du cœur de Dieu.

Il est la manifestation de sa volonté, laquelle est motivée, par sa pensée, en fonction des besoins de l’autre, ou des autres.

Cependant, rien, ni personne ne peur l’influencer, d’aucune manière, car il est n’est dépendant de personne.

IL fait ce qu’il veut, selon le bon plaisir de sa volonté, et selon son dessein bienveillant, à l’égard de l’humanité perdue.

Il est absolu, au plus haut degré, de sa divinité essentielle et éternelle.

Il est total, impliquant chaque personne de la trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, dans la dimension entière et complète, de leur personnalité respective.

Il est radical, efficace dans la mesure infinie et éternelle, de la puissance, de la force et de la sagesse de Dieu.

Il est unique, incomparable, inimitable, puisque Dieu, lui-même est le Dieu saint, le tout autre, au-delà de tout ce qui peut exister, dans les cieux, sur la terre et sous la terre.

Il est éternel. Dieu ne change pas, il ne ment pas, il ne se renie pas, il ne se repent, ni des ses dons, ni de son appel, ce qu’il promet, il le réalise certainement, car sa Parole demeure, comme la foi, l’espérance et l’amour.

e) La définition de l’amour agapè qui vient de Dieu :

La description que nous donne les Écritures au sujet de l’amour agapè, nous permettent de défini ainsi l’amour de Dieu :

L’amour de Dieu, c’est Dieu lui-même, Père, Fils et Saint-Esprit, manifesté librement et volontairement, par Dieu lui-même, Père, Fils et Saint-Esprit, dans la création et dans la rédemption.

Cette manifestation, visible et tangible de l’amour de Dieu, c’est le don de la création, pour l’homme, le don de son Fils, pour le salut de l’humanité, le don des Écritures, pour l’instruction et la conduite de son peuple, sans oublier, le ciel de gloire, l’héritage éternel, pour tous les élus, ceux que Dieu, justement, à inclus dans son amour, en Jésus-Christ son Fils, par la régénération de l’Esprit.

L’amour agapè donc, à sa source en Dieu, sa nature est divine, sa manifestation est divine, et son but est divin. En un mot, c’est le don de soi pour l’autre.

Selon la Parabole du bon samaritain, qui nous montre que, aimer Dieu, c’est aimer son prochain, comme Dieu nous a aimé.

Et comment nous a-t-il aimés ? En prenant l’initiative, en se donnant lui-même pour nous, en Jésus-Christ, à la croix et dans sa mort, afin de nous réconcilier avec lui.

Cet amour divin, est :

Sans condition :

L’amour n’est plus l’amour, dès lors qu’il exige des conditions. Pourquoi ? Parce que l’amour don de soi, justement, est un don, et un don, ne se paie pas, ne se mérite pas, ne s’achète pas, et pourquoi ? Parce qu’il est impayable !

Parce que le prix de la vie de Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit, est incalculable, il est trop élevé, infiniment et éternellement trop grand pour être évalué, et même, si l’on connaissait ce prix, qui pourrait le payer ?

Sans distinction :

L’amour de Dieu, ne peut faire aucune distinction, ou discrimination, car il n’y a en lui aucune trace de mal, si infime soit-elle, son cœur est fondamentalement, juste et bon.

Il ne tolère ni injustice, ni acception de personne, ni présent, il ne se laisse ni acheter, ni influencer, il est droit, et il aime tous les hommes, quels qu’ils soient.

Sans restriction :

L’amour divin, ne peut pas non plus, restreindre son œuvre, pour une raison quelconque, dans une mesure quelconque, d’une manière quelconque.

Et cela, dans des éléments quelconques, à des personnes quelconques, pour un défaut quelconque, cela n’est pas compatible, avec la nature même de Dieu, qui donne tout ou rien.

Sans abolition :

L’amour de Dieu ne se rétracte jamais. Il ne peut manquer à ses promesses, car Dieu ne tourne pas sa veste, il est fidèle, invariable, immuable, et il tient son alliance, envers ses élus, il a même fait sa promesse, sous serment.

En un mot, comme en cent, tel est Dieu, tel est son amour !


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